Menaces de mort sur maîtresse .

MENACE DE MORT, DOMMAGE À LA PROPRIÉTÉ MOBILIÈRE D'AUTRUI

Marié et père de deux enfants, le chauffeur Babacar Sow, aurait mieux fait de s'en tenir à sa femme. La preuve, lorsque cette dernière a découvert son idylle avec la dame Ndèye Diop, qui se dit être artiste danseuse, elle a tout bonnement demandé le divorce. À la barre Ndèye Diop a affirmé qu'elle ne voulait pas que les choses en arrivent là, ce qui fait qu'elle en a parlé à un ami gendarme, juste pour que ce dernier somme son amant de la laisser en paix. Une décision qui apparemment n'a pas trouvé l'assentiment de l'amant. 

Très remonté, B. Sow, puisque c'est de lui qu'il s'agit, n'a pas hésité à utiliser ses muscles, pour affirmer sa désapprobation sur cette séparation d'avec sa petite amie. Attrait à la barre pour avoir porté des coups sur sa copine, mais également d'avoir endommagé la télé de cette dernière, le mis en cause a nié les faits qui lui sont reprochés, donnant par la même occasion une toute autre version. Selon lui, sa copine avec qui il sort, depuis près de 9 mois, lui a posé un lapin un soir alors qu'ils s'étaient donné rendez-vous vers 22 heures chez elle. «Ce soir-là, je l'ai attendu devant chez elle jusque tard dans la nuit, avant de m'endormir sur les lieux», a-t-il dit à la barre. À son réveil vers 3 heures du matin, renchérit-il, il s'est rendu compte qu'il était tout mouillé à cause de la pluie et qu'on lui a volé son portable et son argent. 

Affirmant qu'il n'a cassé ni télé ni autre chose, le prévenu a été contredit par la grande soeur de la victime. Selon elle, B. Sow est venu à 4 heures du matin dans la chambre qu'elle partage avec sa soeur pour défoncer la porte. Une fois à l'intérieur, soutient-elle, le mis en cause les a frappées toutes le deux avant de donner un coup de pied à la télévision qui s'est cassée. 

La partie civile, qui n'a réclamé aucun dédommagement, a quand même tenu à préciser que même les membres de la famille de B. Sow la menacent de mort. 

CHARTRES - Il menace de mort sa maîtresse : un an de prison avec sursis

l était, littéralement, fou d’amour : un Chartrain de 31 ans a été condamné à un an de prison avec sursis par le tribunal correctionnel. Il avait proféré des menaces de mort à l’encontre de sa maîtresse, une femme qui l’avait quitté en apprenant qu’il était marié. La police de Dreux l’a interpellé lundi alors qu’il sortait du domicile de la victime. Il avait enfreint alors une première injonction judiciaire. « Ca va être un massacre, il va y avoir un bain de sang » : c’était le contenu d’un message qu’il lui avait laissé. Sa peine a été assortie de soins médicaux.