Je brûlais déjà pour elle,
Poèmes pour mon amant ,ma maîtresse ....
Alors ne me restent plus que ces songes
Et juste pour toi, mes mots, j'allonge
Me laissant guider pres du feu qui crepite
A defaut de ton corps, je m'en rechauffe
De sa chaleur s'embaume mon coeur
Et de ma plume je t'en fais l'ebauche
Aucune retenue, aucune pudeur
Ne viendra masquer mon desir pressant
je vis et je meurs à rever de ce pêché
Mon être tout entier ne fait que s'enflammer
Et je sens alors mon "ennemi" brulant
Fremir sous l'effet de tes doigts sur moi
Tu me caresses tel l'ebeniste sur le bois
Se laissant guider par son savoir faire
Tu me prends et tu te delectes de ma chaire
Esclave du plaisir et de la volupte
Je m'abandonne toute entiere a tes baisers
Sous les draps, jeux de dominances s'alternent
Et nos rythmes effrenes se dechainent
Transportes par l'extase de cette frenesie
Tu m'emportes dans les profondeurs de la nuit
Je perds alors toutes notions du temps
Rester dans l'infini de ce reve troublant
Ou je te vois donner corps à mes fantasmes
Tu liberes en moi furie exaltee,
Et tu laisses en emoi cette demone acharnee
T'etant soumise pour atteindre l'orgasme
Et quand la jouissance supreme m'epuisera
Je laisserai alors le sommeil me gagner
je me blotierai dans la douceur de tes bras
Et je reverai encore de ce moment partage
Jusqu'a ce que l'aube finisse par t'emporter
Alors dans un dernier baiser tu partiras
Mais de cette nuit, souvenirs, tu garderas
Car ton esprit et ton corps en resteront gravés.
Que chaque nuit j'imaginais,
Je m'endormais dans ce secret.
Son beau regard posé sur moi,
Elle devenait ma seule loi,
Et tous mes sens me dominaient,
Car je savais, je l'adorais.
Les senteurs fines de son corps,
Jetaient alors sur moi leur sorts,
La douceur chaude de sa peau,
Hissait toujours mon coeur plus haut,
Au paroxysme du senti,
Un jour c'est vrai je défaillis,
Anéanti, le souffle court,
Je devinais un tel amour,
Feu d'artifice pour sa vie,
Bouquet final dans notre lit,
C'était ma femme, c'était ma vie,
Chaleur, bonheur, tendresse qui,
Par son toucher et son sourire,
Montait ma joie à en mourir.
Ses cheveux fins flottaient au vent,
Ils m'invitaient à ce serment,
Plus qu'un mariage assurément,
Une vie à deux tout simplement.
Je n'étais plus que son enfant,
J'étais bien plus que son amant,
Nous n'étions qu'un apparemment,
Brillant de feux comme un diamant.
Après la mort au firmament,
Tels deux anges en arrivant,
Toujours unis comme deux aimants
Alors mon âme s'ensorcelait,
Alors mes yeux s'émerveillaient.
Nos yeux se sont accrochés
Ton sourire est devenu mon soleil
Ta tendresse une grande merveille.
Je t'offre dans mes mains
Mille baisers câlins
Pour que jamais tu n'en sois privé
Tout a commencé quand nos regards se sont croisés, Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête. Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête. Notre amour grandit de jour en jour. Dans tes bras je pars m'envoler Dans un monde doux et sucré
Chaque retrouvaille déchaîne mon émoi. Chaque enlacement m'attire vers toi. Chaque bisou stimule mon amour. Chaque regard fait fondre mon coeur
Tel un soleil, tu brûles tout autour de toi,
Rien ne te résiste, la glace devient vapeur,
Tes yeux étincelant me laisse sans voix,
Je me laisse doucement envahir par ta chaleur.
Tel une musique, tu es les battements de mon coeur, Je me laisser bercer par tes bras, si doux, si fort à la fois,
Tes notes montent en force et retombent en douceur, Ton rythme devient le mien, tu prends possession de moi.
La Mort des Amants
Nous aurons des lits pleins d'odeurs légères,
Des divans profonds comme des tombeaux,
Et d'étranges fleurs sur des étagères,
Ecloses pour nous sous des cieux plus beaux.
Usant à l'envi leurs chaleurs dernières,
Nos deux coeurs seront deux vastes flambeaux,
Qui réfléchiront leurs doubles lumières
Dans nos deux esprits, ces miroirs jumeaux.
Un soir fait de rose et de bleu mystique,
Nous échangerons un éclair unique,
Comme un long sanglot, tout chargé d'adieux;
Et plus tard un Ange, entr'ouvrant les portes,
Viendra ranimer, fidèle et joyeux,
Les miroirs ternis et les flammes mortes.
Allongée, dans la nuit,
J'ai beaucoup réfléchi...
J'ai cherché le bien-être
Tout au fond de mon être...
Je me suis demandée,
Pourquoi je me sentais déprimée...
Et là, dans l'écran de mes pensées,
J'ai compris quelle était ma destinée.
Mon but est de devenir moi-même,
De réussir à ce que je m'aime,
De réussir à vivre,
Et ne plus vouloir fuir...
Car, comment rendre heureux,
S'il on est malheureux ?
La réponse est la volonté,
L'envie de vouloir aimer,
Le besoin de se montrer,
Le besoin de s'aimer...
A ce jour, je veux prendre ma vie,
Et vivre comme j'en ai envie...
Prendre du temps pour moi,
Prendre soin de moi...
Tout cela ne sera que bénéfique,
Pour une vie à nouveau féerique...
Egoïste cela peut être défini,
Mais, c'est ce qu'il faut parfois dans la vie.
Penser à sa personne,
Savoir dire non quand on nous questionne...
C'est un passage de la vie...
C'est un passage pour avoir une meilleure vie...